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Patrick Préville
Président, Indice RP
![]() Notre dernier texte portant sur les menaces de déménagement de certaines activités de Bombardier hors-Québec a été publié dans Le Devoir de ce matin et dans le Huffington Post Québec. Pour consulter le texte sur ces plateformes, voici les liens : Merci de nous suivre! Et bonne lecture! Patrick Préville Président, Indice RP Ainsi donc, Bombardier pourrait déménager certaines de ses activités à l’extérieur du Québec, privant ainsi la province de centaine d’emplois. Telle a été la réponse de la multinationale à l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) qui accuse une vingtaine de ses employés d’avoir « posé des gestes d’ingénieurs » sans en être réellement. Cette menace disproportionnée de la multinationale ne vise évidemment pas l’ordre professionnel, mais plutôt le gouvernement. Tout porte à croire qu’il s’agit d’une opération publique de lobbying. Analyse.
Qui dit vrai? Selon la version des faits de ce fleuron du Québec inc., le secteur de l’aéronautique est de juridiction fédérale et, ce faisant, il n’aurait pas les mêmes obligations de se conformer aux exigences de l’OIQ. De plus, toujours selon eux, la vingtaine de techniciens visés par l’ordre professionnel seraient des ingénieurs, en regard des critères de Transport Canada. Qui dit vrai, qui dit faux? Au fond, cela n’a pas d’importance. Il se peut même que tous les deux aient raison, mais qu’ils n’appuient tout simplement pas leur raisonnement sur les mêmes critères pour établir qui est en droit (ou non) de « poser des gestes » que seuls des ingénieurs posent habituellement. 1-0 pour l’OIQ Donc, si ces critères existent vraiment chez Transport Canada et qu’ils ont préséances sur ceux de l’OIQ, pourquoi ne pas les avoir tout simplement relevés pour les mettre en opposition à ceux de l’OIQ? Pourquoi ne pas avoir choisi de collaborer avec l’OIQ pour régler ce différend en soulignant l’importance de réunir les deux paliers de gouvernement autour de la table afin de se mettre d’accord sur des critères communs pour éliminer toute forme d’interprétation? Et si les employés sont réellement des ingénieurs, pourquoi ne pas simplement dire d’où ils viennent et où ils ont obtenu leurs diplômes, tout en préservant leur identité? Cette seule information répétée en boucle dans toutes leurs communications aurait sans doute calmé le jeu et aurait permis à Bombardier d’enlever du poids aux arguments de l’OIQ. Étrangement, Bombardier a plutôt endossé une stratégie de communication guerrière qui pourrait nuire à sa réputation. Pour l’instant, le manque de précision de Bombardier dans sa « défense » et le silence de Transport Canada dans cette affaire donne le premier point à l’ordre professionnel dans la bataille de l’opinion publique. 1-0 pour l’OIQ. Opération publique de lobbying Œil pour œil, dent pour dent. Telle semble être l’approche privilégiée par la multinationale dans cette affaire. Froissés d’avoir été égratignés dans les médias, les dirigeants de Bombardier ont répondu par la menace. Le public visé est évidemment le gouvernement provincial. Bombardier n’a visiblement aucune intention de transiger avec l’OIQ; l’entreprise souhaite plutôt que le gouvernement intervienne dans l’affaire. Mesdames, messieurs, vous êtes ici témoins d’une opération publique de lobbying où un acteur important de l’économie québécoise met de la pression sur le gouvernement en brandissant la menace ultime de déménager ses activités. Bien qu’éducative, cette opération est toutefois socialement discutable. Responsabilité sociale de Bombardier À ma connaissance, l’État québécois, donc le peuple québécois, a grandement contribué au développement de Bombardier grâce, entre autres, à ses subventions, ses crédits d’impôts et quelques plans d’aide directe à la multinationale. Par exemple, en avril 2013, Bombardier a obtenu du gouvernement québécois un financement d’un milliard de dollars, par le biais d’Investissement Québec, pour l’aider dans la vente de ses avions de la CSeries. Compte tenu de l’argent public investi dans cette entreprise plusieurs fois milliardaire, comment justifier les menaces de l’entreprise de déménager certaines de ses activités? Non seulement cette stratégie est discutable d’un point de vue des relations publiques, mais d’un point de vue de la responsabilité sociale, les menaces adressées au gouvernement et aux Québécois sont tout simplement inacceptables. Il est à souhaiter que Bombardier saisisse l’opportunité de se rétracter dans ses menaces et qu’elle fasse montre de plus de sensibilité à l’égard de l’aide que les Québécois ont bien voulu lui accorder par le biais de son gouvernement. Le fondateur, M. Bombardier, savait saisir toutes les opportunités afin de faire connaître son produit. Il avait un sens commun très développé. Que penserait-il aujourd’hui de cette opération publique de lobbying? Des questions? Des commentaires? N'hésitez pas à me transmettre vos questions ou vos commentaires relativement à ce texte. Merci de partager avec votre réseau! Formuler un objectif SMART peut sembler simple. Pourtant, de nombreux communicateurs peinent encore à y arriver. Peu importe le niveau d'expérience de ces derniers, junior ou senior, cette lacune est malheureusement largement répandue. Or, pour développer des programmes de communication/RP performants et stratégiques, cette compétence est essentielle . Portrait de la situation. D'abord, que signifie SMART? SMART, veut d'abord dire « intelligent », en anglais. L'idée serait donc de formuler des objectifs intelligents. Pourquoi intelligent? Pour pouvoir mesurer le niveau d'atteinte des objectifs ou le niveau de succès d'un programme; pour pouvoir s'améliorer (amélioration continue); pour s'assurer qu'un programme est profitable pour l'organisation. Entre autres! L'objectif SMART serait donc intelligent parce qu'il permet un impact certain sur les activités de l'organisation et que cet impact est mesurable et vérifiable. SMART, c'est aussi un acronyme pour : Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste, Temps. Il s'agit en quelque sorte d'une recette pour bâtir et formuler un objectif mesurable, un objectif intelligent (smart!). Si la recette est aussi simple, alors pourquoi autant de communicateurs ne réussissent-ils pas le gâteau? La plupart du temps, c'est parce qu'il manque quelques ingrédients essentiels, que voici. Ingrédient no1 : l'information Bien entendu, l'information est l'un des ingrédients les plus importants. D'ailleurs, les professionnels des relations publiques ayant étudié ce domaine à l'université connaissent la méthode RACE : Recherche, Analyse, Communications, Évaluation. Mais il ne suffit pas d'avoir de l'information; il faut avoir la bonne information! Cette dernière doit provenir de sources crédibles, être pertinente pour le programme à réaliser et surtout, cohérente avec les objectifs d'affaires poursuivis par l'organisation. Pour obtenir la bonne information, il faut donc savoir poser les bonnes questions aux bonnes personnes. Ingrédient no2 : cohérence avec les objectifs d'affaires Pour que le travail d'un professionnel des relations publiques soit réellement stratégique, il doit répondre à des impératifs organisationnels et des objectifs d'affaires précis. Ainsi, il n'y a pas de mal à reprendre intégralement un objectif SMART organisationnel dans un plan de communication. En fait, c'est même une excellente idée! Ingrédient no3 : rigueur Dans ma carrière, j'ai côtoyé des gens qui, peut-être pour camoufler leur incapacité à formuler un objectif SMART, me racontaient que leurs objectifs étaient en fait des objectifs de « communication »! Intéressant. Alors, comment fait-on pour mesurer un « objectif de communication »? Et si cela ne se mesure pas, comment fait-on pour mesurer le niveau d'atteinte de l'objectif et le niveau de succès d'un programme de communication? En comptant le nombre de sourires lors d'un événement? Et c'est ainsi que des objectifs tels que les suivants se retrouvent trop souvent dans des plans de communication :
Analyse - Objectif 1 (Sensibiliser la population) Concernant le premier objectif (Sensibiliser la population...), qui est un habitué des plans de communication, j'ai eu de nombreuses discussions corsées avec des professionnels aguerris des communications. Pour cause, je maintiens à tout coup qu'il s'agit plutôt d'une stratégie, non pas d'un objectif (surtout, il n'a rien de SMART!). En effet, ce faux objectif répond d'abord à quelque chose de plus grand. Ici, il faut se poser les bonnes questions :
Par exemple, s'il s'agit de recyclage, l'objectif pourrait être quelque chose comme : Atteindre une moyenne de recyclage de x Kg par employé (représentant une hausse de x %) pour la première année d'implantation du programme. Vous voyez sans doute que l'énoncé visant la sensibilisation répond directement à cet objectif. Si nous voulons sensibiliser, c'est pour nous permettre d'atteindre cet objectif précis de recyclage par employé. Il est donc important que chacun comprenne l'impact de leurs comportements sur l'environnement, l'économie et les gens. Puis, de cette stratégie, il y aura des moyens de communication. Peu importe l'enjeu, l'objectif doit être formulé en tenant compte de la recherche et de l'analyse des données qui auront été réalisées au préalable. Et pour ceux qui clameraient que cette information est souvent manquante, je dis ceci : si vous voulez démontrer la force et la pertinence de votre rôle dans votre organisation ou auprès de vos clients, conseillez-les dans cette perspective. Si vous ne réussissez pas du premier coup, ne lâchez pas le morceau. Ayez de l'initiative! Soyez courageux! Ainsi, vous contribuerez à rendre notre métier plus stratégique. Des questions? Des commentaires? N'hésitez pas à me transmettre vos questions ou vos commentaires relativement à ce texte. Aussi, si vous n'êtes pas sûr si votre objectif est SMART ou si votre objectif en est vraiment un, je vous invite à communiquer avec moi. Merci de partager avec votre réseau! Textes similairesChers lecteurs du Blogue IRP, quel plaisir de vous retrouver sur cette page ou dans votre boîte de courriels! Depuis la publication du dernier texte, une grande nouvelle est survenue : la naissance du deuxième enfant de la famille. 15 mois à peine sépare les deux! Ouf! Le petit coquin nous a joué un tour alors qu'il est venu à notre rencontre cinq semaines avant terme! La période d'adaptation avec les deux enfants est maintenant terminée et je suis très heureux de pouvoir vous retrouver pour vous partager mes trouvailles et mes connaissances en matière de relations publiques, d'évaluation et de mesure RP. Nouvelle loi canadienne C-28 anti-pourrielsComme vous le savez, une nouvelle loi canadienne a vu le jour; il s'agit de la loi C-28 qui vise à encadrer les communications électroniques à vocation commerciale. Je tiens à vous rappeler qu'en tout moment, vous pouvez mettre fin à votre abonnement à ce blogue en cliquant sur le lien prévu à cette fin au bas de ce message ("unsubscribe now"). Ceci dit, je vous remercie sincèrement pour votre confiance et votre intérêt pour le blogue IRP. À venir...Voici un aperçu des sujets que je vous proposerai au cours des prochaines semaines, sans compter des textes ad hocs d'analyse de l'actualité :
Questions? Suggestions?Si vous avez des questions ou des suggestions de sujets pour le Blogue IRP, n'hésitez surtout pas à communiquer avec moi par courriel ou via notre page Facebook.
Au plaisir d'échanger! Patrick Préville Président, Indice rP Le président d'Indice RP, Patrick Préville, a accordé une entrevue à Benoit Dutrizac, du 98,5 FM, concernant l'influence des sondages sur les électeurs en temps d'élection. Voici l'intégral de cette entrevue : Vous pouvez également lire le texte de M. Préville sur le même sujet qui a paru dans Le Devoir du 27 mars 2014, dans la section Opinion. http://bit.ly/1h0Yvq4 Bonne lecture! Ce matin, dans le quotidien Le Devoir, vous trouverez mon dernier texte de blogue portant sur l'influence des sondages sur les électeurs en temps d'élection.
Voici le lien pour consulter l'article sur ledevoir.com : http://bit.ly/1l7iGro. La question se pose depuis de nombreuses années et est éludée par les grandes firmes de sondage : Est-ce que les sondages en temps d'élection nuisent à la démocratie en influençant les électeurs? Plusieurs recherches indépendantes démontrent clairement que les résultats des sondages influencent les résultats d'une élection. Voici comment... En 2012, la firme MediaMento a mené une enquête d'envergure auprès d'un panel de 1000 personnes afin de vérifier si les résultats de sondage au cours d'une élection pouvaient influencer les résultats d'une élection. La réponse : OUI. Les participants à l'étude devaient voter pour le candidat de leur choix à une élection fictive. Avant de voter, plusieurs questions leur étaient posées. Durant le questionnaire, on leur a présenté six résultats de sondage fictifs, en rotation aléatoire, sans mention de source; après quoi, on leur demandait quelle était leur intention de vote. Au final, 24,9 % des répondants ont changé de favori en cours de route selon les résultats des différents sondages. Les chercheurs ont ainsi conclu que peu importe si les écarts dans les résultats de sondage soient faibles, neutres ou forts, les sondage en temps d'élection influencent les électeurs, ou du moins, une partie des électeurs. Autrement dit, lorsqu'on sait qu'il y a, par exemple, au Québec, quelque 10% d'indécis (élections 2012), on peut certainement affirmer que les résultats de sondage influencent ces électeurs, de même que les électeurs qu'on pourrait catégoriser de « mous », c'est-à-dire ceux qui balancent entre les valeurs de deux partis. Comment?Les nombreuses recherches que nous avons consultées identifient quatre effets possibles des résultats de sondage sur les électeurs :
1. Vote stratégique Avez-vous déjà voté pour un parti qui n'était pas votre premier choix, mais qui vous permettait, dans un certain sens, de bloquer la voie à un autre parti que vous ne vouliez pas voir gouverner? Il est fort probable que votre réponse soit oui. Pour cause, dans un système parlementaire comme celui qui prévaut au Canada (scrutin majoritaire ou système majoritaire uninominal à un tour), le phénomène de vote stratégique est très répandu. Or, les sondages en temps d'élection amplifieraient ce phénomène. En connaissant les « résultats » probables d'une élection, les électeurs auraient ainsi tendance à voter « stratégique » plutôt que de voter selon leur conviction. Ce qui est un non-sens en démocratie. 2. Effet de contagion/d'entraînement Vous avez entendu parler de la fameuse « vague orange » aux dernières élections fédérales au Canada? À la suite de quelques sondages consécutifs où on donnait un avance considérable au NPD de feu-Jack Layton, les médias et la population se sont emballés. Puis, le jour des élections, le parti « orange » s'est retrouvé pour la première fois de son histoire dans le rôle de l'opposition officielle. Une montée spectaculaire de son statut dans la fédération. Cette vague, que dire, ce tsunami orange est en quelque sorte le résultat de ce phénomène que l'on appelle « effet de contagion ou d'entrainement » (en anglais, bandwagon effect). Cet effet prend racine dans notre biologie profonde. L'Homme est un animal social. Il a besoin de sentir qu'il fait partie de la tribu. Or, bien que l'on vote secrètement dans l'isoloir durant les élections, les résultats de sondage ont pour effet de mettre en lumière les intentions d'un certain nombre d'électeurs. Toute tendance marquée pour un parti ou un autre a ainsi le pouvoir d'influencer les électeurs qui voudront faire partie du « buzz ». 3. Fausse confiance & faux découragement Est-ce que vous vous êtes déjà dit : « Bof! Pas nécessaire d'aller voter, mon vote ne servira à rien ; mon parti est vraiment en avance ou vraiment en retard sur les concurrents. » Les résultats de sondage durant des élections peuvent changer le comportement des électeurs en les mobilisant à aller voter ou pire, en les incitant à rester à la maison. Évidemment, la « fausse confiance » qu'afficheront certains électeurs ira surtout dans le sens d'un sondage aux écarts considérables pour ou contre le parti qui est privilégié. En d'autres mots, les résultats de sondage pourraient avoir un impact considérable sur le taux de participation à une élection. Ce faisant, un parti qui pouvait sembler en avance pourrait perdre des appuis importants, ce qui le ferait dégringoler dans les résultats de l'élection; perdant du coup certains sièges. Nuisance à la démocratieBien qu'Indice RP soit un fervent défenseur de la mesure et de l'évaluation, nous sommes d'avis que les sondages en temps d'élection devraient être réglementés, voire abolis complètement.
Comme vous avez pu le constater, il été démontré clairement que les résultats de sondage pouvaient influencer les choix des électeurs. Cette situation est inacceptable en démocratie. Les électeurs devraient pouvoir faire leur choix en suivant leur conviction profonde. Bien sûr, ils pourront toujours se faire influencer par le charisme d'un chef, la force d'un message, les idées d'un parti, un projet innovateur et rassembleur. Cependant, même si ces éléments ont un certain pouvoir d'influence, ils ne sont rien en comparaison avec l'influence que peut exercer nos pairs sur nous. La question que nous pourrions nous poser est la suivante : est-ce que les sondages en cours de campagne électorale annoncent réellement des tendances OU les modifient-elles? Est-ce que les électeurs se collent aux résultats des sondages, consciemment ou inconsciemment? Puis, qu'attendent les médias pour réagir à ce sujet? Ne sont-ils pas les « chiens de garde » de la démocratie? En jouant le jeu des grandes firmes de sondage, les organes de presse se transforment malgré eux en outil sophistiqué de propagande. La place démesuré qu'ils donnent à ces résultats de sondage qui tentent de « prédire » les gagnants d'une élection est irresponsable. Non seulement publient-ils les résultats, mais ils les font commenter par des prétendus « experts » qui ne font que poursuivre le travail de propagande et d'influence. Indice RP est d'avis que la démocratie est un système de société noble qui mérite mieux. Qu'en pensez-vous? Eh! Oui! Il fallait bien que cela arrive un jour. Nous vous présentons aujourd'hui le mythe #7 de la mesure en communications et en relations publiques, tel qu'identifié par Katie Delahaye Paine dans son livre Measure what matters. Il s'agit du dernier mythe de cette série. Bien entendu, nous vous invitons à lire ou à relire cette série qui permet de réfléchir sur les raisons qu'on évoque souvent pour ne pas mesurer. Encore une fois, nous vous invitons à nous transmettre vos commentaires et vos témoignages concernant la mesure. Mesurez-vous? Si oui, que mesurez-vous? Sinon, pourquoi ne mesurez-vous pas? Merci de nous suivre!
Question de bien débuter la semaine, nous vous présentons le mythe #6 de la mesure en communications et en relations publiques, tel qu'identifié par Katie Delahaye Paine dans son livre Measure what matters. Dans le cadre de cette série d'articles sur la mesure RP, diffuserons un mythe par jour, durant sept jours. Bonne lecture! Nous vous invitons à nous partager vos expériences en matière de mesure des communications et des relations publiques.
Que mesurez-vous? Mesurez-vous? Pourquoi ne mesurez-vous pas? Pourquoi mesurez-vous? Quelles sont les contraintes que vous rencontrer habituellement lorsque vous voulez mesurer? Vous pouvez le faire ici dans la section commentaires, sur notre page Facebook ou sur LinkedIn. Merci! Voici le mythe #5 de la mesure en communications et en relations publiques, tel qu'identifié par Katie Delahaye Paine dans son livre Measure what matters. Nous diffuserons un mythe par jour, durant sept jours. Bonne lecture! Nous vous invitons à nous partager vos expériences en matière de mesure des communications et des relations publiques.
Que mesurez-vous? Mesurez-vous? Pourquoi ne mesurez-vous pas? Pourquoi mesurez-vous? Quelles sont les contraintes que vous rencontrer habituellement lorsque vous voulez mesurer? Vous pouvez le faire ici dans la section commentaires, sur notre page Facebook ou sur LinkedIn. Merci! |
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